dimanche 25 août 2013

VTT à Villers-la-Ville




Villers-la-Ville, c’est deux randos VTT par an. A chaque fois, le tracé change. Et cette année n’a pas fait exception. Nous sommes passés par des coins que je ne connaissais pas même si certains tronçons étaient communs avec la trace d’Hez.

Les prévisions météo n’étaient pas franchement folichonnes : de la pluie à la frontière française, à la frontière allemande et au sud du sillon Sambre-et-Meuse. Coup de bol, on était en plein milieu de tout cela. Des nuages mais pas une seule goutte de pluie. Même si certaines flaques de boue étaient présentes, la rando s’est passée plus ou moins au sec. A condition de bien s’assurer, lors du passage entre deux arbres, que leur écartement était au moins aussi grand que la largeur du guidon (oui, bon, il fallait quand même avoir le compas dans l’œil), je n’ai eu aucun problème.
Le fléchage était très bon, les ravitos bien garnis. Très peu d’asphalte et un maximum de singletracks.

Avec Marc, je suis parti sur le 45 mais arrivé à la dernière bifurcation, j’ai continué sur le 60 Km.. Bien m’en a pris car cette boucle était particulièrement belle.
Valérie est partie avec Kris sur le 25 mais les filles n'en n'ont pas eu assez et elles ont fait la boucle du 15 Km. en sus.
Eric

dimanche 18 août 2013

VTT des pompiers, à Dinant



De retour de cette magnifique rando qui s’est hissée en première position de mes randos favorites de l’année.
Parti pour un 45 qui en faisait finalement 41 pour un bon 935 D+, ce qui n’est pas mal du tout. La trace était exceptionnelle avec un fameux paquet de singletracks que je ne connaissais pas. Bon, ok, je ne connais pas bien le sud-ouest de Dinant. Les locaux rectifieront si nécessaire.
Le singletrack, le long de la Meuse,  pour arriver au 1er ravito d’Hastière était jouissif.
J’aurais cependant  apprécié un fléchage plus précis. A certains carrefours, il fallait quand même bien regarder pour trouver une flèche « O2Biker ». La montée vers le rocher de Freir était de toute beauté, tout comme la vue en arrivant au-dessus (un peu gâchée par la pluie, je vous l’accorde). La redescente était limite pète-gueule et a nécessité plusieurs descentes de vélo. J’ai également pesté sur les barbelés qui essayaient de m’attraper (voir de carrément m’enlacer) au passage.
Quant aux pompiers, que dire ? Avez-vous déjà rencontré un pompier pas sympa ? Non, ben alors, tout est dit.
Je pense que tout le monde a apprécié les multiples passages de la Lesse, y compris les kayakeurs qui n’en sont pas encore revenus. Je ne félicite pas les lopettes qui ont préféré emprunter le pont du chemin de fer plutôt que de mouiller leur maillot.
Seul bémol, et là je suis vraiment très déçu … je pensais quand même que le final serait une traversée de le Meuse, à la nage indienne avec vélo sur le dos. Et ben non, même pas … L’année prochaine peut-être ?
Eric