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dimanche 11 mars 2018

L'effet du VTT sur nos organismes


Il est exact que Valérie et moi sommes des fans de VTT (= le vélo de montagne pour ceux qui ne parlent pas comme nous 😉). Et je suis certain que vous pensez tous que nous sommes dans une forme physique et intellectuelle éblouissante et que le vélo a une excellent influence sur tous les trucs qui sont secrétés entre nos deux oreilles et qui portent un nom imprononçable se terminant par « ine » (endorphine, dopamine, adrénaline, morphine, libertine, capucine, tétine, …).

Et ce n’est pas faux … dans mon cas 😈.

Vous êtes habitués de voir nos photographies qui vous montrent des athlètes en action, en plein effort, en train de développer nos muscles d’airain. Mais avez-vous déjà vu les effets de ces exercices sur notre organisme … ou, en tous les cas, sur celui de Valérie 😊 ?

Après une trace VTT, la première chose que fait Valérie, est de se lancer sur un sachet de frites accompagné d’une bière (pour commencer). Ok, la bière et les frites belges (je tape le premier qui me parle de french fries 😡) ont ce petit quelque chose qui vous rend dépendant mais certains y sont plus sensibles que d’autres.

La preuve en images (poussez le son de votre haut-parleur) 😊😊😊.





samedi 4 octobre 2014

samedi 21 juin 2014

Club Med de Peisey-Vallandry

Cliquez ici pour voir les photos.
Comme vous le savez certainement, depuis quelques années, avec quelques potes, nous avons pris l’habitude de visiter une région du Royaume Uni avec nos Vtt, souvent l’Ecosse ou le Pays de Galles. C’est généralement l’occasion de quelques descentes ( !) bien viriles. 
Comme nous trouvions que notre technique (de vtt bien entendu) manquait légèrement de mise au point, nous nous sommes dit : « mais bon sang mais c’est bon soir : une semaine au Club Med avec des GO formés au Vtt, c’est ce qu’il nous faut ». Aussi tôt pensé, aussitôt fait … Mais voilà, ce n’était pas tombé dans les oreilles d’une (et même de trois) sourdes qui ont tout de suite associé Club Med, farniente, resto et piscine. Et cela, ça nous avait échappé ...

Nous nous sommes donc retrouvés au Club Med de Pesey-Vallandry, dans les Alpes françaises. Bon, une semaine pour quatre personnes et demi, cela ne nous a pas coûté trop cher car nous avons profité d’une promo « early bird » et vu que le Club ouvrait pour sa saison d’été, on a encore eu une rabatte supplémentaire pour nos moitiés. En parlant de moitié, vous me direz que quand on va à Munich, on ne prend pas son demi avec soi ! Rassurez-vous nous ne sommes pas sourds non plus …

Bon, les Alpes … et bien … c’est haut … très haut. Et la descente n’est jamais un cadeau, il faut la gagner. En gros, nous avons fait du Vtt, de la descente et du « freeride ».

Que je vous explique : le Vtt, c’est comme chez nous sauf que si vous voulez vous faire un petit 30 Km, il vous faut les mollets de Froome, la seringue de Pantani et la cervelle de Virenque. Donc, on se limite généralement à un 10, voire un 15 kilomètres dans les bons jours.

La descente et le freeride, c’est comme le Vtt sauf qu’avant de descendre, on monte ( !) en télésiège (ben oui, c’est moins fatiguant) avant de descendre (d’où le nom de « descente ») sur le vélo. C’est l’activité idéale quand on est fatigué (ou fainéant disent certaines mauvaises langues).

Cela, ce sont les activités sportives diurnes. Mais ce qui nous a bluffés, c’est le Club Med de Peisey-Vallandry dans son ensemble. On a eu beau chercher, nous n’avons rien trouvé à lui reprocher. Le restau est gargantuesque, les GO compétents, gentils, patients (ceux chargés du vélo en particulier) et sympatoches.

Pour les activités de soirée, il y a … le bar. Celui-ci est très bien achalandé avec des barmaids en-veux-tu-en-voilà-à-ne-plus-savoir-où-regarder (bon … je vous concède qu’il y a un mec ou deux mais je trouve qu’ils ont mauvais genre). Après le bar, il y a … encore le bar ou, à la limite, le restaurant.

Le restau … pfff … j’ignore où ils vont chercher leurs chefs mais ils mériteraient au moins une « étoile » ou une « toque ». Je vous recommande particulièrement le buffet des desserts. Ce buffet est à conseiller si vous souhaitez pratiquer le freeride en diurne : plus vous êtes lourd, mieux cela descend (il faut juste veiller à ne pas vomir dans son casque « intégral »). Après le restau, et bien, il y a … le bar.

Je vous conseille quand même d’éviter la période de coupe du monde de foot. A cette saison, les instincts grégaires de la population autochtone refont surface et ils pensent encore qu’ils sont les rois du monde.

Eric ( … vous ne pensez quand même pas que Valérie a participé à ce compte-rendu).














dimanche 23 février 2014

dimanche 26 janvier 2014

Le Raid'Heure de Walcourt


Jusqu’à dimanche dernier, je ne connaissais la rando du Raid-Heure que de nom mais j’avais lu pas mal de commentaires positifs sur les 19 éditions précédentes. Valérie a préféré rester dans son lit et je suis donc parti seul. A l’arrivée de mon trajet, j’étais au départ de la rando, prêt pour une quarantaine de kilomètres en direction de l’arrivée, c’est-à-dire du départ pour le retour d’où j’étais parti le matin même (vous suivez toujours ?). Dès l’arrivée, juste avant le départ ( !?), nous sommes pris en charge par une équipe qui sent bon l’expérience des années antérieures. La première difficulté a été de trouver une place de parking parce que c’était bourré de chez craqué là-bas. Plus de 1400 inscrits ont pris part à une des boucles de 15, 25, 35 ou 45 Km.. Chose rare, beaucoup de jeunes sont sur leur vélo. Les dénivelés annoncés n’étaient pas extraordinaires aussi, je me suis inscrit sur la grande distance. Et me v’la parti.
L’organisation a été impeccable, le fléchage exemplaire et les ravitaillements gargantuesques. Mais, en dehors, de cela, je dois bien dire que j’ai été déçu par les chemins empruntés. Pas mal d’asphalte, et surtout, beaucoup de champs traversés. Et suite à la météo pluvieuse des jours précédents, je peux vous dire que les champs étaient très boueux. Cela fait partie du vtt mais, sans être de la région, je pense qu’il y aurait eu moyen de nous faire passer autre part que dans des bourbiers qui n’en finissaient plus. Vers le trentième kilomètre, j’en avais tellement ras la patate que j’ai coupé au court pour rentrer au parking. Et je ne me suis même pas arrêté au bike-wash ni au bar.
Eric

dimanche 17 novembre 2013

VTT à Andenne "De chaîne en chêne"


Cette rando a la réputation d’être assez difficile et technique. Et une fois de plus, elle a été à la hauteur. Hugues et moi nous sommes limités au 30 Km pendant que les filles traçaient leurs 22 km.

 
 


dimanche 3 novembre 2013

VTT à Marche-en-Famenne

Il faisait vraiment un temps de chiottes quand Marc et moi sommes partis de Marche pour cette rando qui, par un temps sec, n'aurait pas été mal du tout.


dimanche 27 octobre 2013

VTT à Villers-la-Ville ou Riders in the storm.



Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette rando était épique. D’abord, on a cru qu’elle ne puisse se faire et ensuite, ce sont les conditions météo très venteuses qui ont gardé pas mal de bikers dans leur lit.

Valérie est directement partie sur le 35 Km. Comme je pensais faire la boucle du 45 km, je l’ai laissée derrière moi (oui, oui, c’est vrai).

On nous annonçait une météo pluvieuse mais jusqu’au 30ème kilomètre, nous avons  à peine reçu quelques gouttes sur la tête, pas de quoi fouetter un vttiste jusqu’au sang. Mais au second ravito, les dieux du ciel se sont déchaînés et c’est un déluge de pluie qui nous a transpercés. Nos vêtements ont été traversés de part en part et l’eau s’est introduite jusque dans les chaussures en suivant nos jambes.

Comme cela m’est tombé dessus à peine 500 mètres avant la bifurcation vers le 45, la pluie m’a décidé à abréger et j’ai terminé sur le 35 km … comme le petit groupe dans lequel je m’étais inséré.

Valérie n’a pas échappé aux conditions et elle était également trempée à l’arrivée mais elle a quand même continué religieusement sur son 35 km.

La semaine qui précédait, un camion est passé dans l’abbaye de Villers-la-Ville sans se préoccuper de la hauteur de sa benne. Résultat : il a emporté une arche et abîmé deux autres. Et la route est restée interdite à la circulation. Le côté positif de cet accident est que le final de notre parcours Vtt a pu se faire en passant à l’intérieur même des ruines de l’abbaye. Cela ne s’était jamais fait et c'était magnifique (à part la flotte bien entendu).

Tout cela n’a pas empêché le traditionnel pain-saucisse-bière. 

Eric

dimanche 20 octobre 2013

Rando VTT du Ry d'Argent


C’est par une superbe journée d’automne que Valérie et moi sommes partis sur la rando VTT de Rhisnes, à deux pas de chez nous. Pour Valérie, c’était l’occasion d’inaugurer ses toutes nouvelles pédales à clips. Pour les incultes, les clips attachent les chaussures au pédales et  permettent une bien meilleure accroche. Ils sont surtout utiles dans les montées et quelques fois dans les descentes lorsque qu’un coup de pédale est nécessaire pour éviter un obstacle. Le revers de la médaille est qu’ils nécessitent une période apprentissage plus ou moins courte selon les cyclistes. Au début, les chutes à l’arrêt sont fréquentes car on n’intègre pas le processus de « déclipsage » du premier coup.
Pour Valérie, cela s’est bien passé. Elle n’est pas tombée … essentiellement grâce à un arbre et un piquet judicieusement placés.
Bref, c’était une bien belle rando de 42 Km avec 720 m de dénivelé positif. Ce qui n’est pas mal du tout quand je me rappelle que Valérie me disait, il y deux ans encore : « moi, je ne ferai jamais plus de 25 kilomètres. Cela me suffit ! » …

Eric

dimanche 22 septembre 2013

dimanche 15 septembre 2013

dimanche 25 août 2013

VTT à Villers-la-Ville




Villers-la-Ville, c’est deux randos VTT par an. A chaque fois, le tracé change. Et cette année n’a pas fait exception. Nous sommes passés par des coins que je ne connaissais pas même si certains tronçons étaient communs avec la trace d’Hez.

Les prévisions météo n’étaient pas franchement folichonnes : de la pluie à la frontière française, à la frontière allemande et au sud du sillon Sambre-et-Meuse. Coup de bol, on était en plein milieu de tout cela. Des nuages mais pas une seule goutte de pluie. Même si certaines flaques de boue étaient présentes, la rando s’est passée plus ou moins au sec. A condition de bien s’assurer, lors du passage entre deux arbres, que leur écartement était au moins aussi grand que la largeur du guidon (oui, bon, il fallait quand même avoir le compas dans l’œil), je n’ai eu aucun problème.
Le fléchage était très bon, les ravitos bien garnis. Très peu d’asphalte et un maximum de singletracks.

Avec Marc, je suis parti sur le 45 mais arrivé à la dernière bifurcation, j’ai continué sur le 60 Km.. Bien m’en a pris car cette boucle était particulièrement belle.
Valérie est partie avec Kris sur le 25 mais les filles n'en n'ont pas eu assez et elles ont fait la boucle du 15 Km. en sus.
Eric

dimanche 18 août 2013

VTT des pompiers, à Dinant



De retour de cette magnifique rando qui s’est hissée en première position de mes randos favorites de l’année.
Parti pour un 45 qui en faisait finalement 41 pour un bon 935 D+, ce qui n’est pas mal du tout. La trace était exceptionnelle avec un fameux paquet de singletracks que je ne connaissais pas. Bon, ok, je ne connais pas bien le sud-ouest de Dinant. Les locaux rectifieront si nécessaire.
Le singletrack, le long de la Meuse,  pour arriver au 1er ravito d’Hastière était jouissif.
J’aurais cependant  apprécié un fléchage plus précis. A certains carrefours, il fallait quand même bien regarder pour trouver une flèche « O2Biker ». La montée vers le rocher de Freir était de toute beauté, tout comme la vue en arrivant au-dessus (un peu gâchée par la pluie, je vous l’accorde). La redescente était limite pète-gueule et a nécessité plusieurs descentes de vélo. J’ai également pesté sur les barbelés qui essayaient de m’attraper (voir de carrément m’enlacer) au passage.
Quant aux pompiers, que dire ? Avez-vous déjà rencontré un pompier pas sympa ? Non, ben alors, tout est dit.
Je pense que tout le monde a apprécié les multiples passages de la Lesse, y compris les kayakeurs qui n’en sont pas encore revenus. Je ne félicite pas les lopettes qui ont préféré emprunter le pont du chemin de fer plutôt que de mouiller leur maillot.
Seul bémol, et là je suis vraiment très déçu … je pensais quand même que le final serait une traversée de le Meuse, à la nage indienne avec vélo sur le dos. Et ben non, même pas … L’année prochaine peut-être ?
Eric

dimanche 21 juillet 2013

Vtt les Coticules, Lierneux.

Le 21 juillet, c’est la fête nationale belge. En règle générale, cette journée est prometteuse de drache nationale. Il tombe en principe des cordes pendant le défilé militaire. Mais, voilà, notre bon Roi Albert a décidé de remettre, aujourd’hui, les clés du royaume à son fils Philippe (« Filip » pour certains). J’ignore si c’est pour cette raison mais en me levant ce matin, le thermomètre indique 23°. J’ai prévu un Vtt à Lierneux (près de Vielsalm). Ce n’est pas la porte à côté mais cette rando a bonne réputation. A l’arrivée au départ ( !? ), le thermomètre est déjà à 25°. Gloups !
Les 20 premiers kilomètres se déroulent sur de grandes allées (heureusement dans les bois) et sont un peu soporifiques. Les choses commencent réellement à se corser (chef-lieu : Ajaccio) après le premier ravitaillement. Le terrain est plus accidenté et les côtes se font sentir à l'os. Sans parler du soleil qui tape sur le caillou à chaque sortie de bois.
Dans un virage, devant moi, un Vttiste se ramasse sur les graviers. Il est amoché et saigne du bras, des jambes et de la main. Je m’arrête pour lui prodiguer les premiers soins à savoir … une bouteille de désinfectant. Il refuse le remontant (pur malt, 15 ans d’âge) que je conserve toujours dans mon sac à dos en cas de coup dur. Tant pis pour lui. Il repart en marchant vers le ravitaillement qui n’était pas très loin.
Au second ravito, je n’ai plus d’eau et commence à me lyophiliser.
Heureusement, de grandes glacières nous proposent des bouteilles de boissons rafraichissantes (le genre plein de sucre) qui sont prises d’assaut. J’en enfile une sur place et en garde une autre sous le coude pour la suite. Bien m’en a pris.
Je termine, à sec, sur un 45 Km, avec un peu moins de 900 de dénivelé positif et 34° à l'arrivée (et je ne vous parle pas de la température DANS la voiture).
Vive le Roi, vive la Belgique,
Eric

dimanche 14 juillet 2013

Les crêtes de Naninne en VTT

Bon, je vous l'accorde, les crêtes de Naninne, ce n'est quand même pas comme si nous étions dans les Alpes. Mais, c'est le nom qu'ont choisi les organisateurs, probablement histoire d'attirer nos amis nordistes.

C'est par une météo au beau fixe que nous sommes partis, Marc et moi, de Naninne. Cette rando se déroulait dans notre jardin d'entraînement aussi, les tracés choisis ne nous étaient pas vraiment inconnus. Dès le départ, nous avions bien pensé que le fléchage allait poser des problèmes. Des étiquettes lilliputiennes et une peinture sur route difficilement visible et très souvent mal placées ont donné lieu à des interprétations (j'ai loupé une bifurcation). Au premier ravitaillement, nous nous sommes séparés. Je suis parti sur le 55 Km.

A Faux-les-Tombes, j'ai eu le plaisir de rencontrer un sympathique cycliste australien. Je vous rassure tout de suite, il ne participait pas à cette rando. Il aurait eu bien du mal avec son son vélo et ses grosses fontes. Il venait d'Amsterdam et poursuivait son chemin en direction de ... la Grèce. Cela remet tout de suite les choses à leur place (j'avais l'air malin avec mes petits 55 km).

Si les 25 premiers km étaient relativement plats, les dénivelés se sont fait sentir sur le reste du tracé. Résultat : 56 Km et 1200 mètres de dénivelé positif. Et je suis rentré à temps pour admirer la prestation de Christopher Froome au sommet du Ventoux (cela remet également certaines choses à leur place).

Eric

Pour ceux que cela intéresse, la trace GPS est disponible ici.

dimanche 7 juillet 2013

Week-end en Gaume








La Gaume, ses murs secs, sa pierre beige du pays, sa végétation variée, ses criquets, son allure paisible… par 30°, au soleil, pour tout un weekend : C’EST LA PROVENCE !!!

Nous étions invités chez nos amis namurois expatriés en Gaume française (ça existe, ça ? ) pour le weekend des 6 et 7 juillet. Programme chargé : eux s’occupaient de tout, y compris de placer une rampe en fer forgé sur 3 niveaux… des repas, de l’animation, du logement… et nous DE RIEN !!!

Le samedi, Eric, tenté par son VTT normalement prévu pour le dimanche… a déjà enfilé une trentaine de km dans la région, pendant que j’essayais de m’en sortir avec les honneurs sur le terrain de tennis de Saint-Mard avec Clément. C’est que Clément progresse vachement d’année en année et que le moment où il va me mettre une tatouille n’est plus bien loin !!! Alors par 28° en plein soleil, sur des French Courts bien réfléchissants… je suis sur mes gardes car pas dans mon élément du tout !! Et ça court comme des malades à cet âge-là !!!

Après une bonne bière et une bonne douche, très agréable soirée sur la « grand » place du tout petit petit village d’Avioth, malgré tout doté d’une superbe basilique des 13ième et 14ième siècles. Cette basilique est dotée d’une « recevresse », ce qui est rare et assez insolite. C’était la fête au village et des centaines d’âmes sorties d’on ne sait où remplissaient la place à minuit pour le feu d’artifice. Pas petit du tout, d’ailleurs, ce feu d’artifice !!!

Dimanche matin, Eric, Christophe, Clément et moi avons enfourché nos vélos pour un superbe tracé, idéalement valonné, sportif et culturel puisqu’il passait pas moins que : en plein au travers de la Citadelle de Montmédy. Magnifique site historique très bien préservé. Merci Christophe pour ce tracé parfait, alliant bois, champs et single tracks… Honte à nous, nous avons laissé Nath et Blandine préparer tout le barbecue pendant ce temps…

Et après la douche, nous n’en n’avons plus foutu une… et nous avons terminé vautrés devant l’arrivée du tour de France, au salon, bien à l’abri de la chaleur, cachés derrières des murs de pierre épais comme ça !

Amélie n’était malheureusement pas de la partie cette fois-ci mais elle ne dépérissait pas du tout quelque part, elle s’éclatait à son camp lutin de Bertogne… Quant à Blandine, elle était bien là, tellement bien là qu’avec ses béquilles, elle aurait eu du mal à se casser !!! J Un petit accident de trempoline à l’origine de sa patte folle… Eric s’en est donné à cœur joie, vous imaginez… et comme Blandine a de la répartie… J

Merci Nath, Christophe et les gremlins pour ce délicieux weekend énergique et savoureux !

Valérie.

vendredi 7 juin 2013

Scottish Thrill 2013 - Day 6 - Whinlatter

C'est avec regret que nous quittons notre hôtel de Mabie. Nous redescendons vers le Lake District. Situé en plein milieu de la foret de Whinlatter, le bike park du même nom est une superbe infrastructure composée de deux grandes boucles rouges : au nord, une piste de 10 Km assez technique et au sud, une piste de 9 Km.
 
Whinlatter dispose d'un grand bâtiment avec toilettes, douches, restaurant, centre nature ainsi que d'un bike shop très bien fourni. Le parking permet de s'accommoder de pas mal de véhicules. Comme toujours, si l'accès au bike park est gratuit, le parking, lui, est payant (6 £) mais ce n'est vraiment pas cher payé pour disposer d'une telle infrastructure.
 
Les distances et dénivelés peuvent paraître faibles par rapport à ce que nous connaissons chez nous mais, croyez-nous, ces pistes sont très techniques et demandent un bon niveau.
 
Marc et moi avons limité nos prétentions à la piste nord. Celle-ci se termine par une descente en lacets à flanc de colline. Il était vivement conseillé de ne pas regarder le paysage et de se focaliser sur la trace. Etienne, Dominique et Christophe ont enchaîné la piste sud.

jeudi 6 juin 2013

Scottish Thrill 2013 - Day 5 - Kirroughtree

Kirroughtree n'est pas un grand centre. Le café au pied des pistes était fermé et le bike shop, bien que bien achalandé, ressemblait à une cabane de jardin.

Hugues, indisponible (pas de bras, pas de vélo) est parti faire une petite balade pédestre. Quant aux cinq survivants, nous nous sommes lancés à lasso de la piste rouge. C'était un petit 15 km qui ne nous a pas laissé de souvenir impérissable mais qui était, malgré tout, à faire.