dimanche 13 avril 2008

balade autour du château de Jehay ...

... en province de Liège.
Et merci à Carine pour cette proposition...
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samedi 22 mars 2008

une semaine de vacance à la Côte d'Azur ...


... et pas à la quette d'azor.
22 au 29 mars 2008.
Après un hiver 2007-2008 assez maussade, nous avons décidé de prendre une semaine de repos pour profiter des premiers beaux jours de l'année.

Bien nous en a pris. Nous avons quitté la Belgique sous une météo très colorée. On s'est farçi toute la palette de couleurs entre le blanc et ... le noir. Le ciel a varié entre le gris souris et le noir chocolat pendant tout le trajet. Et le blanc me direz-vous ? Facile : il suffit de baisser les yeux. Plusieurs centimètres de neige en dessous ne nos roues. Youppee ! Au moins, avons nous évité les embouteillages.

Nous avions heureusement prévu une étape à Chatillon-sur-Chalaronne, dans les environs de Lyon. Très beau "gros" village qui mériterait certainement plus qu'une soirée de passage.

Le dimanche matin, même météo. Positivons : tout s'annonçait pour le mieux. Au moins nous ne serons pas dépaysés.

Heureusement, le ciel s'est dégagé à l'arrivée tout là bas, dans le sud.

Nous avons réservé deux chambres d'hôtes dans le sud de la France. Croiriez vous que Valérie a réussi à nous faire loger dans des cabanes dans les arbres au fin fond de la France. Ok, on était parti pour jouer les robinsons pendant quelques jours.

Mais quelles cabanes ! Une belge, Diane Van den Berge, a planté sa vie speedée en Belgique (eh oui) pour s'installer avec armes et bagages dans le sud de la France. Son coup de génie a été de faire aménager 4 cabanes "fully equipped" dans les arbres du fond de sa propriété, juste au pieds de Saint-Paul de Vence.

Après 3 nuits d'un calme "spacial", nous nous sommes déplacés d'une cinquantaine plus à l'ouest et à l'intérieur des terres. A Bagnols-en-Forêt, un autre expatrié, suisse celui-là, y a déposé ses bagages. François Moret a construit et aménagé de ses mains une superbe villa. Mais ce n'est pas tout. Quand vous pensez "suisse", vous ne pensez pas nécessairement "gastronomie", non ? Et bien, là, on en est resté sur le derrière. Ce mécanicien-architecte d'intérieur est également un fin cordon bleu.

Au programme dans la région : randonnées. Et nous n'avons pas été déçus non plus. Ca grimpe bien dans le coin, même si Valérie a quelques fois menacé de s'asseoir et d'attendre que je vienne la chercher en voiture .

Le samedi, il a bien fallu nous rendre à l'évidence que nos vacances étaient terminées. Et, c'est la mort dans l'âme que nous avons repris le chemin de la Belgique.

samedi 1 mars 2008

Une de mes photos publiée..


..dans le magazine anglais Digital Photo du mars 2008. Et en plus, j'ai même reçu un chèque pour cela. Cette photographie a été prise à Roney.

samedi 26 janvier 2008

Week-end à Damme et à Knokke


« En voyage, les noms m’attirent avant les lieux. Dressés plus haut que les clochers, les mots carillonnent à distance, distincts à des milliers de kilomètres, envoyant les sons qui déclenchent les images.

Ostende…
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J’avais toujours rêvé d’Ostende.
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En dépliant une carte, je fus aussitôt magnétisé par sept lettres tracées sur le bleu figurant la mer du Nord : Ostende. Non seulement les sonorités me captivaient mais je me souvins qu’une amie possédait une bonne adresse pour y séjourner.
<…>
Parce que le mot commençait par un O d’étonnement puis s’adoucissait avec le s, il anticipait mon éblouissement devant une plage de sable lisse s’étendant à l’infini… Parce que j’entendais « tendre » et non pas « tende », je me peignais les rues en couleurs pastel sous un ciel paisible. Parce que les racines linguistiques me suggéraient qu’il s’agissait d’une cité « qui se tient à l’ouest», je combinais des maisons groupées face à la mer, rougies par un éternel soleil couchant.

En y arrivant la nuit, je ne sus pas trop quoi penser. Si, en quelques points, la réalité d’Ostende convergeait avec mon rêve d’Ostende, elle m’imposait aussi des démentis violents : quoique l’agglomération se trouvât bien au bout du monde, en Flandre, dressée entre la mer des vagues et la mer des champs, encore qu’elle offrît une vaste plage, une digue nostalgique, elle révélait aussi comment les Belges avaient enlaidi leur côte sous prétexte de l’ouvrir au grand nombre. Barres d’immeubles plus hautes que des paquebots, logements sans goût ni caractère répondant à la rentabilité immobilière, je découvris un chaos urbain qui racontait l’avidité d’entrepreneurs tenant à capturer l’argent de la classe moyenne lors de ses congés payés.

Heureusement, l’habitation dont j’avais loué un étage était une rescapée du XIXe siècle, une villa édifiée à l’époque de Léopold II, le roi bâtisseur. Ordinaire en son temps, elle était aujourd’hui devenue exceptionnelle. Au milieu d’immeubles récents incarnant le degré zéro de l’invention géométrique, simples parallélépipèdes divisés en étages, étages eux-mêmes découpés en appartements, appartements bouchés par d’horribles fenêtres en verre fumé, toutes symétriques – d’une rationalité à vous écoeurer de la rationalité – elle témoignait, solitaire, d’une volonté architecturale ; elle avait pris le temps de se parer, variant la taille et le rythme de ses ouvertures, s’avançant ici en balcon, ici en terrasse, là en jardin vitré, risquant des fenêtre hautes, basses, moyennes, voire des fenêtres d’angle, puis soudain s’amusait, comme une femme se pose une mouche sur le front, à arborer un œil-de-bœuf sous la toiture d’ardoise. »

Eric-Emmanuel Schmitt « La rêveuse d’Ostende », Albin Michel, 2007, extrait des pages 10, 11, 12.


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dimanche 23 décembre 2007

Just Ride It à Chaudfontaine



Exercice de downhill.

samedi 24 novembre 2007

la Carrière Bossimé à Lives-sur-Meuse


Cette carrière est abandonnée depuis plusieurs années. Elle appartient à la société Gralex. Les bâtiments sont à l'abandon et dans un état de délabrement plus que total. Je préfère ne même pas penser à ce qui à pu passer par ces locaux.

Actuellement, les bâtiments semblent être utilisés comme - au choix - dépotoir, toilettes, baisodrome, grange, et bien d'autres usages dont ma bonne éducation (!) m'empêche d'évoquer.

vendredi 23 novembre 2007

un fortin, dans le champ devant chez nous, la nuit.


J'ai toujours été intrigué par ce fortin, perdu au milieu du champ, en face de la maison. Il a été construit à la fin du 19ème siècle et était en liaison avec le Fort d'Emines






Cette soirée s'annonçait claire et très froide. Aussi, ai-je pris mon courage à deux pieds pour essayer une nouvelle technique de photographie de nuit que l'on appelle "light painting". Littéralement : peinture avec de la lumière.




Il s'agit de positionner l'appareil photo sur un trépied, en mode pose. Ensuite, on se balade devant le sujet en l'éclairant avec des coups de flashs. Les durées de poses sont assez longues (de 30 secondes à plusieurs minutes dans ce cas).



Le résultat est assez aléatoire et demande beaucoup d'essais mais je pense que le résultat en vaut la peine.

samedi 10 novembre 2007

Carine, 40 piges


Quand j’ai appris que Carine faisait une fête pour ses 40 ans, vous pensez bien que je n’allais pas rater cela et j’avais préparé une petite allocution

Eric

jeudi 1 novembre 2007

Citytrip à Budapest


Nous voici de retour après un très agréable citytrip à Budapest.

Nous n’avons pas du tout été déçus de Budapest, alors qu’on nous disait « ah, si tu as vu Prague, c’est moins beau… et Vienne machin truc… ».

Je ne sais vraiment pas pourquoi les gens comparent car ça n’a rien à voir, je n’ai pas un instant pensé à Prague quand j’y étais.

En fait, il y a tellement d’influences étrangères différentes ! Oui, il y a des bâtiments qui ressemblent à ce que nous avons vu à Vienne, très peu qui ressemblent à ce que nous avons vu à Prague, un parlement vraiment ressemblant à Westminster de Londres ! Beaucoup d’influences du passage des turcs aussi ! De très beaux parcs, des thermes mythiques, une citadelle dont nous avons fait l’ascension à pied bien sur… vous nous connaissez. A mon goût, trop de circulation et de grandes artères, pas du tout typiques des villes européennes, il n’y a pas de petites rues qui serpentent dans tous les sens, c’est que des croisements à 90° et bien larges, donc bien roulants. Ils roulent comme des pétés ! Tu dois faire attention tout le temps !

Notre hôtel était ma-gni-fique ! Il y avait des thermes sur 1000 m2 ! jacuzzis, sauna, hammam, piscine, on a fait des massages tous les jours. C’était génial !

On a eu 3 jours de grand ciel bleu avec 15° ! Qu’est-ce qu’on a toujours eu du bol !

Valérie