![]() |
Cliquez ici pour voir les images |
samedi 29 octobre 2011
jeudi 20 octobre 2011
dimanche 16 octobre 2011
samedi 24 septembre 2011
Week-end belge pour un québecois
Valérie
![]() |
Cliquer ici pour les images croustillantes. |
Notre soleil du weekend n’était pas celui auquel vous pensez…
Débarqué le vendredi soir pour une divine soirée presque sous la Citadelle, il nous a chauffé le cœur jusqu’au lundi matin de son départ. Weekend champêtre et buccolique entouré d’amis et de flânerie, de gastronomie et de friterie… le temps d’un weekend ce fut l’été indien québécois.
Valérie
samedi 17 septembre 2011
"Se souvenir des belles choses"
Invitation 1
Invitation 2 : l'agenda
Le jeu ( ! 12 Mb ! )
Parole à Carine :
![]() |
Cliquez ici pour voir les photos. |
Invitation 2 : l'agenda
Le jeu ( ! 12 Mb ! )
"Pétition contre les brûlages de culottes.
Par la présente, je manifeste ma position en défaveur des brûlages de culottes sur des lieux publics. Je souhaite rejoindre le "front de libération des culottes" et m'insurge contre le sort jeté à ces pauvres culottes innocentes."
Ces fêtardes en pleins préparatifs d'une noce imminente ne croyaient pas rencontrer si parfaite adepte de leur cause en cette magnifique journée ensoleillée de mai !!! Elles n'ont pas été brûlées et vivent toutes en liberté dans mon armoire et je leur fais voir du pays tour à tour, un peu chaque jour !
Quant au "petit reporter" du jour, c'est en ma cousine Carine que nous l'avons trouvé pour notre plus grand bonheur car elle a eu la géniale idée de la faire "à la québécoise", en l'honneur des "bobettes", et en l'honneur de mes invitées québécoises qui n'avaient pu faire la voyage dans le délai (sur ce blog, à la mi-juin, vous constaterez qu'une partie d'entre elles l'a fait peu de temps après, à ma plus grande surprise !!!). En écrivant ceci, j'ai une pensée affectueuse pour toutes mes amies "empêchées" ce jour-là, dont pas moins de 4 malades fort heureusement bien rétablies depuis !
Parole à Carine :
Ah les bobettes.....
on en est toutes baba !
Bonyeu quelle équipe pour fêter les 40 piges à Poyon !
Que des kid kodak rapaillées pour célébrer dignement l'occasion, prêtes à faire du barda dans la capitale wallonne (et pour certaines, à péter la balloune .... ;) , le tout sous un soleil radieux puisqu'il a même pas mouillé ce 28 mai 2011.
Ali n'a certainement pas volé son titre de super planificateur ! Comme un chef, il a géré :
les invitations, en deux malles : la première en rose dans l'enveloppe verte, la deuxième en vert dans l'enveloppe rose..... non mais, c'est qu'il a le sens du détail notre dandy ;)
le parcours découverte du centre namurois agrémenté d'un questionnaire culturel : enfin, clichés à l'appui, le culturel a eu des ratés..... trop tentant de mettre en boîte tout se qui se présentait sur notre chemin : de bonnes bouilles namuroises (de touts âges et touts styles), des bibittes (à poils ou à plumes), des endroits insolites (et moins insolites), etc.....
l'embarcation sur la Meuse à ne pas louper : gare aux retardataires qui pourraient manger des bêtises....
et le bouquet final : une excellente table qui offrait bien mieux qu'une poutine !
le tout dans la plus stricte confidentialité ; c'est dire que Poyon a eu le motton en débarquant au Tabora....
Ali n'a pas longtemps branlé dans le manche pour nous filer la bonne plogue sur le présent qui pourrait plaire à Poyon. Ce n'est donc plus un secret (pour celles qui ont bien traduit) :
elle est bandée sur la p'tite culotte ....
Nous avions toutefois un défi à relever: Poyon devait pouvoir deviner le titulaire du présent sans un seul indice autorisé.
Et vous pensez que nous n'y sommes pas arrivées ???
NON PEUT-ÊTRE !!! ;))
Ainsi, tout au long de la soirée, sous l'oeil attentif des cuistos effoirés de rire, Poyon a écharogné ses paquets cadeaux.
Y'en a eu de toutes les sortes : des carreautées, des picotées, des qui laissent à l'air les foufounes à Poyon, des qui lui cachent la boutroule, des longues, des courtes, des blanches, des bariolées...... toutes plus cutes les unes que les autres !
Y'a pas à dire, mais il a eu du visou notre Ali : Poyon est aux petits oiseaux de pouvoir empiler ses nouvelles cache-minoune dans le placard !
Merci encore à Wallo Disnait Productions pour l'organisation parfaite : oufti, c'était sauté !
Tourlou à tous et à toutes fins utiles....., cliquez sur ce lien.
Carine
Balade dans les bois de Malmedy
![]() |
Cliquez ici pour voir les photos. |
C'est par une journée pas très chaude mais avec des éclaircies qu'Hugues et moi avons été trainés (de force) par nos épouses respectives (et respectées) à Malmédy (où C ksa ? C pas sur les cartes ? Si ?).
Nous avons vite compris qu'Isabelle n'était venue que pour goûter aux patisseries locales et Valérie pour présenter la nouvelle collection de chaussures Shimano.
Mais, bon, comme nous n'avons pas rencontré grand monde, il n'y aura quasiment personne pour se foutre de nous... Et ce n'est pas le cerf qui nous est passé devant le nez qui dira le contraire.
Pauvres de nous ...
samedi 10 septembre 2011
samedi 3 septembre 2011
Triathlon de la Ville de Namur
Ce samedi 3 septembre, en bord de Meuse, s’est déroulé le premier mini-triathlon de la ville de Namur. Pour les béotiens qui ignorent de quoi il s’agit voici les explications :
|mode culture ON|
Le suffixe « athlon » pourrait provenir d’un mot latin qui signifie « concours » ou encore d’un mot grec signifiant « combat ». Mais non, pas du tout. En réalité son origine provient d’un ancien dialecte namurois. Par la suite « athlon » s’est transformé en « attelons «. On retrouve une trace de ce mot dans l’expression « Cre vin dju, la marie, despetch ti et athlon el bourin » (NDLR : s’il avait été namurois, c’est l’expression que DSK aurait certainement utilisée quelques heures avant de recevoir sa nouvelle paire de bracelets, chromés sur tranche) .
« Athlon » est donc l’ancien mot namurois pour « cheval ».
Quant au préfixe « tri », il pourrait faire penser au nombre de participants, limité à trois. Mais les 250 athlètes présents démentent cette hypothèse. Il pourrait également faire référence au nombre d’épreuves mais, croyez moi, vu l’état dans lequel certains ont terminé la journée, ce serait inhumain d’engager trois épreuves d’affilée. Non, en réalité, « tri » fait référence au nombre de participants par équipe.
Il s’agit, tout logiquement, d’une épreuve qui consiste à traverser la Meuse, par équipe de trois, sur le dos d’un cheval.
Mais, un instant : trois personnes, un cheval, traverser la Meuse ? Mais bon sang, mais c’est bonsoir : c’est Bayard ! Une minute, les fils Aymon étaient bien quatre, n’est-ce pas ? C’est pour cela qu’il s’agit d’un « mini » triathlon. Parce qu’il n’y a que trois personnes sur le dos du cheval.
Le triathlon est donc une épreuve d’origine namuroise qui commémore la traversée de la Meuse par les fils Aymon et le cheval Bayard.
C’est tout de suite plus clair, une fois que l’on explique bien les choses.
|mode culture OFF|
Pour les résultats, je vous renvoie vers le site internet des organisateurs , le club de triathlon de Namur.
Eric
dimanche 28 août 2011
ARTour 2011 ou le vélo de la Louvière
Quand, une tasse de café à la main, vous embrassez votre dulcinée dans le cou, les gouttes (de café) sur la moquette résultant de cette effusion sont-elles de l’art contemporain ? Si vous trébuchez dans les escaliers et que le seau d’eau savonneuse s’étale sur le papier peint, est-ce une atteinte iconoclaste aux talents du peintre ou l’expression d’un mouvement surréaliste ? Quand vous engueulez votre petit dernier qui décore la tapisserie en tentant d’atteindre une mouche en plein vol avec son sifflet, êtes-vous en train de brider sa créativité et d’anéantir un futur Alechinsky ?
C’est précisément pour répondre à ces questions que l’Office du tourisme de La Louvière organisait une balade à vélo sur le thème ARTour, dans le cadre de la biennale d’art contemporain. Le succès était au rendez-vous puisque pas moins de … quatre personnes ont répondu à la pelle (ben oui, un râteau, ça le fait pas) : Chris, François, Valérie et moi. A cette occasion, nous avons eu droit à deux accompagnateurs bien sympathiques.
Bon, La Louvière, ce n’est pas vraiment une destination à placer sur les dépliants touristiques (quoique certains y arrivent quand même). Dans le style post-apocalyptique, c’est certainement un des fleurons. Il suffit de passer devant les anciennes usines Boch pour s’en rendre compte.
Mais, au moins, il est possible d’y faire du vélo. La première étape (100 mètres) nous a amenés vers le musée de la Gravure et de l’Image Imprimée où nous avons pu voir ce qui, à mon sens, doit être la plus grande collection de taches du monde. Il y en a de toutes les formes et pour tous les (d)(é)gouts.
Ensuite, nous nous sommes dirigés vers le canal du Centre et vers un des ascenseurs hydrauliques (mis en service à la fin du 19ème siècle) où nous avons marqué un arrêt à la cantine des italiens puis nous avons continué à longer le canal en passant devant le dépôt des usines Boel (un autre fleuron de la décrépitude locale).
Après une dizaine de kilomètres le long du canal, nous sommes arrivés au nouvel ascenseur à bateaux de Strepy-Bracquegnies. De loin, cela ressemble à un bunker au milieu des champs. Et, de près …, ben, c’est la même chose. Quelques millions de tonnes de béton et d’acier qui servent à monter et descendre des péniches sur un dénivelé de 73 mètres. Cet ouvrage est typique de la bonne ( !) gestion de nos élus : commencé en 1982 et ouvert à la navigation en … 2002, après 20 ans quelques 650 millions d’euros (une paille !). Pendant un certain temps, le budget qui était alloué à sa construction représentait les deux tiers du budget total octroyé par la Wallonie aux investissements d'infrastructure (de là l’état de nos routes). Son achèvement a été maintes fois remis en cause : en effet, les besoins des voies navigables ont diminué au cours des années et sa rentabilité était douteuse. Mais l'investissement déjà consenti ne pouvait être abandonné.
Lors de sa conception, il avait été prévu pour transporter des péniches de 1350 tonnes. Actuellement, il existe des péniches de 3000 tonnes. L’époque du début de sa construction était encore celle où la sidérurgie était (seulement) au début de son déclin.
A l’intérieur, une exposition ( !) qui présente le record du monde du saut en longueur de Mike Powell en 1991 avec un bon de 8.95 mètres. Un peu bizarre comme "œuvre" mais, bon, c’est contemporain, non ? L’entrée se fait par un hall d’accueil gigantesque uniquement chauffé par des radiateurs électriques directs. Gestion vous avez dit « gestion » …
De là, nous sommes repartis vers un autre ancien ascenseur à bateaux (le n° 3) où nous avons pu nous installer pour engloutir le pique-nique (made in Valérie).
Sustentés, nous sommes partis vers le charbonnage de Bois-du-Luc où une petite visite nous était préparée par un spécialiste local qui valait le détour à lui seul pour son enthousiasme et ses connaissances historiques.
Ensuite, nous sommes retournés vers La Louvière et la maison d’édition du Daily Bul. Les ramollissements de Pol Bury de même que le Lexicon (le bien nommé) de Roland Breuker méritent le détour. A cinquante mètres de là, le musée Ianchelevici et ses machines improbables est intéressant à visiter. J’ai particulièrement apprécié la ville végétale de Luc Schuitens. Bon, il faut quand même bien reconnaître que pas mal d’œuvres relèvent plus d’un processus masturbatoire que de génération artistique spontanée. Mais c’est quand même intéressant de savoir que notre Terre génère d’autres tarés que soi même et que, parfois (rarement), l’avenir appartient aux fous.
En résumé, une bien bonne journée sans pluie, avec de charmantes personnes pour une trentaire de kilomètres à plat. Belle initiative de la ville de La Louvière qui n’a malheureusement pas été payée comme elle l’aurait du.
Eric
dimanche 21 août 2011
Warnant ou la vallée de la Molignée à Vtt
Pour trouver Warnant, c'est facile. Vous vous arrêtez le long de la Meuse et vous regardez 160 mètres plus haut. Là, il y a Bioul. Et bien Warnant, c'est juste à mi-hauteur. C'est aussi dire que dans le coin, cela monte ou cela descend mais rarement entre les deux.
En bon team manager, Hugues avait bien correctement planifié le départ de la rando entre la drache de la nuit du samedi au dimanche et les orages violents (avec pluie, vents, grelons, éclairs et tout le toutim) annoncés pour le dimanche matin. Bien heureusement, les joueurs de lotto d'Uccle se sont encore coincé le doigt dans l'oeil du cyclone jusque l'eau morte plate et il n'est pas tombé une seule goutte de la matinée. Cette rando vtt s'est même déroulée sous le soleil, plein de soleil, ... de la chaleur, plein de chaleur, ... de l'humidité, plein d'humidité. Un bon 28° avec dans les nonante pourcents d'humidité.
Dès le départ de chez Hugues, cela monte sec dans le bois des Aujes. Quand j'écris "sec", c'est juste une image. En réalité, la drache nocturne a transformé les sentiers en bourbier où un ver de terre n'aurait pas pu retrouver ses vermisseaux. Après quelques kilomètres, nous sommes déjà couverts de boue, des pieds à la tête.
A la sortie du bois, nous empruntons un petit bout de route en direction de Denée. Nous descendons ensuite vers le bois de Ronquiere à la sortie duquel s'offre une très belle vue sur l'Abbaye de Maredsous. Nous nous y serions bien arrêtés pour une bonne tartine de fromage (ah oui, j'oubliais : ils font de la bière aussi, ces sacrés moines).
Hugues nous crie "en haut de la côte, tournez à droite". Christophe, le sens de l'orientation toujours affuté, loupe le début de la phrase et tourne à droite dans le bas de la descente, suivi comme un seul homme par Thomas et Etienne. Le trio nous rejoindra quelques minutes plus tard.
S'en est suivie une belle traversée de bois et de clairières ainsi qu'une longue descente vers la Molignée. Là, nous empruntons un bout de route blanche vers Le Marteau et les ruines du Château de Montaigle aux pieds duquel se trouve la maison qui a inspiré Walo Dînait pour son "Blanche Neige et les Sept Mains", chef d'oeuvre de la littérature érotique mosane (si si !).
S’il y a un truc que Hugues ne connaît pas, c'est le sens du mot "à plat". Lui, il connaît uniquement "monter" (souvent) et "descendre" (parfois). On a à peine terminé un chouilla de pente qu'un mur arrive devant nous. Comme juste après Montaigle, en direction du village de Haut-le-Wastia (le bien nommé). Là, dans le coin, il y a même un truc qui s'appelle "Mont d'Anhée" que nous n'avons pas souhaité visiter (non merci, sans façon ... burp). Carlos et moi avons profité que les quatre autres fous nous avaient lâchement largués dans la montée pour entamer une discussion sur la vie sexuelle des cailloux.
Nous poursuivons par une longue descente vers Anhée et son très joli terrain de foot. Un petit bout de Ravel nous a conduits jusque la Meuse, au Pont d'Yvoir. Plus bas que cela, il fallait creuser ! La vallée de la Molignée s'offrait à nous. Après quelques centaines de mètres le long de la rivière, nous nous sommes engagés dans les bois en direction de la Ferme de Corbais. De là jusque dans le Bois de Warnant et le Bois de l'Abbaye, il ne nous restait plus qu'une seule côte qui devait faire dans les, bof, cinq kilomètres et 150 mètres de dénivelé. Une paille, quoi ! Mais, bon, il a bien fallu reconnaître que, de là haut, la vue sur Warnant était impressionnante.
Le retour (en descente, s'il vous plait) vers notre point de départ s'est fait très facilement en n'oubliant pas, quand même, de nous arrêter juste devant la grosse chaîne tendue en travers du chemin par une bonne âme vertueuse.
Ce n'est qu'une fois arrivés chez Hugues que les choses sérieuses ont commencé. Nous avions tellement monté que nous avons cherché quelque chose à descendre. Et tout ce qu'on a trouvé, c'est un casier de Jup qui traînait, là, par hasard, dans un coin. Ce qui est certain, c'est que, malgré le soleil omniprésent, nous n'avons pas bronzé du tout, recouverts que nous étions de la bonne terre locale, de celle qui fait les hommes, les vrais ... De là, le retour à la Jup (vous suivez toujours ?). Boule a bien essayé de nous séduire avec son eau pétillante mais c'était méconnaître notre détermination.
Tiens, en parlant de boue, il nous a bien fallu l'enlever. Nous avons très longuement hésité entre le marteau pic et le Karcher. Après une discussion et un vote à coude levé, c'est finalement ... la douche qui l'a emporté. Pendant qu'Etienne, tel une soubrette du Sofitel, prenait soin de nos montures (!) que nous avions bien montées (!), nous nous sommes appliqués à boucher consciencieusement les canalisations de la maison d'Isabelle.
Une fois un semblant d'apparence humaine revenu, c'est un barbecue d'enfer qui nous attendait. On s'en est jeté un paquet derrière la cravate. Euh ... oui, c'est une image, bien entendu : le paquet n'était pas si gros que cela. Le dîner s'est terminé par un léger dessert, pas calorique pour un sou.
En résumé : une très bonne journée avec un tracé vtt "à la Hugues" très bien senti et un bbq "à la Boule" très bien digéré. Merci à tous, nous avons vraiment passé une très bonne journée.
Eric
PS : les seusses que la trace intéresse, ils peuvent la voir et la télécharger ici, sur le site de Garmin.
Inscription à :
Articles (Atom)